
Ce vendredi 03 septembre 2025, les rues de Kisangani ont résonné d’un message fort de soutien au gouverneur de la Tshopo. Émanant d’un collectif de groupes de pression, de mouvements citoyens et d’organisations engagées pour la paix, le développement et la bonne gouvernance, cette déclaration, lue par Yvon Amisi, porte-parole du collectif, visait à contrer ce qu’ils qualifient “d’attaques déstabilisatrices et sans fondement” orchestrées par certains groupes.
Le collectif exprime sa vive dénonciation à l’encontre d’un groupe de jeunes manipulés qui, selon eux, tentent de saper la gouvernance provinciale par le biais de “propos diffamatoires non fondés et désinformations systématiques” diffusés sur les réseaux sociaux. “L’avenir de la Tshopo ne peut pas être sacrifié au profit des intérêts égoïstes”, a martelé Yvon Amisi, soulignant la nécessité de préserver la stabilité de la province.

Plusieurs points fondamentaux ont été mis en avant pour justifier ce soutien :
1. Respect des institutions : Les actions actuelles sont perçues comme des “attaques personnelles ou politiciennes déguisées” visant à déstabiliser les efforts des institutions provinciales, et particulièrement ceux du gouverneur Paulin Lendongolia, qui agit en conformité avec la vision du Président de la République.
2. Reconnaissance des efforts concrets : Le gouvernement provincial est crédité d’initiatives visibles, notamment le lancement et l’exécution de chantiers routiers jugés prioritaires.
3. Renforcement des services sociaux de base : Des actions sont également menées pour améliorer ces services essentiels et réduire les tensions sociales par le biais d’un dialogue permanent.
4. Stabilisation institutionnelle : Le maintien de la stabilité est souligné comme un succès, particulièrement dans un contexte jugé parfois hostile.
5. Dénonciation des dérives politiciennes : Le collectif met en garde contre des groupes qui s’arrogent des rôles de juges et bourreaux dans un agenda visiblement orienté, affirmant que leur indignation sélective sert des intérêts occultes plutôt que ceux du peuple.
Face à cette situation, un appel à la responsabilité collective est lancé. La jeunesse est invitée à se mobiliser pour soutenir les institutions, à participer à la recherche de solutions et à reconnaître le travail des dirigeants, plutôt que de se livrer à des critiques gratuites.


En somme, le collectif réaffirme son soutien total au Chef de l’État et au gouverneur de la Tshopo, tout en rejetant fermement toute campagne de déstabilisation menée par des officines sans projet constructif. Ils rappellent que la lutte contre l’insécurité est une responsabilité partagée, impliquant autorités, jeunes, leaders d’opinion et sociétés civiles, et que le développement de la Tshopo repose sur l’unité, le travail et le respect des institutions établies, et non sur la calomnie ou la manipulation.
Jerry Lombo
